samedi 17 janvier 2009
Chasse du 11 janvier 2009
Nous sommes très gentiment acceuillis dès samedi soir par la famille Lefevre sur leur territoire de L'aine.
Nous arrivons non sans mal à la ferme vue l'état des routes et décidons de fixer le Rendez Vous le lendemain à 11h.
Une fois dans la plaine nous n'avons aucun mal à trouver un lièvre puisque au bout d'une centaine de mètres se sont au moins 8 lièvres qui sont entrain de nous regarder.
Nous décidons d'attaquer celui qui semble le moin propice à sortir du territoire.
Les beagles prennent la voie et tombent aussitot en défaut. Il en sera de même pour les 2 ou 3 lièvres que nous tentons d'attaquer ensuite.
Nous mettons donc fin à notre chasse et décidons d'aller suivre nos amis des Petits Mâtins qui chassent non loin de là.
Ayant les même soucis que nous, nous repartons en Normandie légèrement déguoutés.
Nous arrivons non sans mal à la ferme vue l'état des routes et décidons de fixer le Rendez Vous le lendemain à 11h.
Une fois dans la plaine nous n'avons aucun mal à trouver un lièvre puisque au bout d'une centaine de mètres se sont au moins 8 lièvres qui sont entrain de nous regarder.
Nous décidons d'attaquer celui qui semble le moin propice à sortir du territoire.
Les beagles prennent la voie et tombent aussitot en défaut. Il en sera de même pour les 2 ou 3 lièvres que nous tentons d'attaquer ensuite.
Nous mettons donc fin à notre chasse et décidons d'aller suivre nos amis des Petits Mâtins qui chassent non loin de là.
Ayant les même soucis que nous, nous repartons en Normandie légèrement déguoutés.
Chasse du 1 janvier 2009
Nous sommes gentiment acceuilli ce jour par Bruno Gallichon, Maître d'Equipage du Rallye Aquitaine Avance, pour suivre une chasse de chevreuil dans les landes.
Quelques boutons du RdM on décidé de suivre la chasse à pied, laissant les voitures aux moins courageux.
Le territoire de sapins est magnifique et les nombreuses allées de sables débouchant bien souvant sur des palombières nous permettrons de suivre aisément cette superbe chasse jusqu'à un grand débuché où nous avons été obligé de prendre les voitures.
la meute de chevreuils a chassé presque seule et a relevé magnifiquement tous les défauts de cette belle chevrette.
La retraite prise a été sonnée après 2h30 de chasse très soutenue, et notre Maître d'équipage a eu la chance de recevoir les Honneurs.
Quelques boutons du RdM on décidé de suivre la chasse à pied, laissant les voitures aux moins courageux.
Le territoire de sapins est magnifique et les nombreuses allées de sables débouchant bien souvant sur des palombières nous permettrons de suivre aisément cette superbe chasse jusqu'à un grand débuché où nous avons été obligé de prendre les voitures.
la meute de chevreuils a chassé presque seule et a relevé magnifiquement tous les défauts de cette belle chevrette.
La retraite prise a été sonnée après 2h30 de chasse très soutenue, et notre Maître d'équipage a eu la chance de recevoir les Honneurs.
Chasse du 31 décembre 2008
Nous chassons pour le deuxième jour de suite et pour la dernière fois de l'année 2008 sur l'ACCA de Samazan, où nos amis chasseurs à tir nous réinvitent ayant apprécié le laissé courre de la veille.
Nous retournons aux herbages où nous avions connaissance hier de quelques voies.
Nous laissons cette fois les beagles rapprocher durant une bonne heure et demi.
Prospect Bluebottle et Damson nous montrent ici la finesse de leur nez.
Nous fermons les herbages et après un changement de chaussures pour le maître d'équipage qui à les pieds démolis par les cloques, nous reprennons notre quête sous les quêtés requêtés de Clement quand par chance un lièvre surement avertis par les fanfares se lève une centaine de mètre plus loin.
Les chiens sont calmement mis à la voie et la chasse démare à vive allure, à croire que la meute n'a pas chassé hier.
Notre animal de chasse file droit devant lui traversant bois ruisseaux et vergers.
Au bout d'une vingtaine de minutes, les veneurs comme les suiveurs sont perdus.
Les beagles chassent, mais le territoire valloné et l'allure du début de la chasse nous à fait perdre le chasse.
Venant nous chercher en voiture, Augustin et un suiveur, aperçoivent la meute sur une colline a quelques kilomètres de "notre défaut".
Aussitot rejoint, la meute est reprise par Clément qui constate que les beagles sont gêné par un grillage.
Il les fait rapidement sauter et notre Maître d'équipage reprend alors les chiens.
Le lièvre fait tête vers un labour bordée par une rivière, mais personne ne l'a vue depuis l'attaque.
La meute reprend mollement après le grillage et descend lentement jusqu'à la rivière.
Quelques beagles se récrient dans l'eau... Dilemma et Nickelby se récrient de l'autre côté du cours d'eau, mais rien n'y fait, en faisant les avants et les arrières, nous ne redressons pas.
Nous décidons de rentrer en foulant un grand carré de jachère lorsque Naples se récrie, la meute rallie, et pendant 10 minutes la meute carillone du tonerre sans que nous puissons juger l'animal qui est devant les chiens.
Les vieux chiens chassant nous laissons faire jusqu'à ce qu'un renard se défile entre Augustin et moi, serrez de près par la meute qui le chasse de roncier en roncier.
Nous appuyons donc, car faute de lièvre, un renard fera bien l'affaire. Après 20 minutes de chasse notre renard se fait attraper par Nickelby, Dancer, Naples, et Dilemma qui n'entendent pas le lâcher.
Nous arrivons en foyant pour servier l'animal lorsque celui ci repart et fasse tête vers des vergers.
La meute reprend bien malgré quelques blessures qui ne seraient sûrement pas arrivé au lièvre.
Les vergers sont traversé rapidement et la meute est retrouvé après 40 minutes de courre tumultueux en défaut... au pied d'un terrier.
La rosalie est sonnée... un peu de repos sera de bonne guerre afin d'être en forme pour le Réveillon et la chasse au chevreuil de demain.
Nous retournons aux herbages où nous avions connaissance hier de quelques voies.
Nous laissons cette fois les beagles rapprocher durant une bonne heure et demi.
Prospect Bluebottle et Damson nous montrent ici la finesse de leur nez.
Nous fermons les herbages et après un changement de chaussures pour le maître d'équipage qui à les pieds démolis par les cloques, nous reprennons notre quête sous les quêtés requêtés de Clement quand par chance un lièvre surement avertis par les fanfares se lève une centaine de mètre plus loin.
Les chiens sont calmement mis à la voie et la chasse démare à vive allure, à croire que la meute n'a pas chassé hier.
Notre animal de chasse file droit devant lui traversant bois ruisseaux et vergers.
Au bout d'une vingtaine de minutes, les veneurs comme les suiveurs sont perdus.
Les beagles chassent, mais le territoire valloné et l'allure du début de la chasse nous à fait perdre le chasse.
Venant nous chercher en voiture, Augustin et un suiveur, aperçoivent la meute sur une colline a quelques kilomètres de "notre défaut".
Aussitot rejoint, la meute est reprise par Clément qui constate que les beagles sont gêné par un grillage.
Il les fait rapidement sauter et notre Maître d'équipage reprend alors les chiens.
Le lièvre fait tête vers un labour bordée par une rivière, mais personne ne l'a vue depuis l'attaque.
La meute reprend mollement après le grillage et descend lentement jusqu'à la rivière.
Quelques beagles se récrient dans l'eau... Dilemma et Nickelby se récrient de l'autre côté du cours d'eau, mais rien n'y fait, en faisant les avants et les arrières, nous ne redressons pas.
Nous décidons de rentrer en foulant un grand carré de jachère lorsque Naples se récrie, la meute rallie, et pendant 10 minutes la meute carillone du tonerre sans que nous puissons juger l'animal qui est devant les chiens.
Les vieux chiens chassant nous laissons faire jusqu'à ce qu'un renard se défile entre Augustin et moi, serrez de près par la meute qui le chasse de roncier en roncier.
Nous appuyons donc, car faute de lièvre, un renard fera bien l'affaire. Après 20 minutes de chasse notre renard se fait attraper par Nickelby, Dancer, Naples, et Dilemma qui n'entendent pas le lâcher.
Nous arrivons en foyant pour servier l'animal lorsque celui ci repart et fasse tête vers des vergers.
La meute reprend bien malgré quelques blessures qui ne seraient sûrement pas arrivé au lièvre.
Les vergers sont traversé rapidement et la meute est retrouvé après 40 minutes de courre tumultueux en défaut... au pied d'un terrier.
La rosalie est sonnée... un peu de repos sera de bonne guerre afin d'être en forme pour le Réveillon et la chasse au chevreuil de demain.
Déplacement Lot et Garonne
Le Rallye des Mondrots aime les kilomètres, et c'est pourquoi nous sommes en déplacement dans le Lot et Garonne cette semaine.
Les boutons les plus courageux et les plus acharnés (ceux qui courents) (Rodolphe tu es excusé...) ont répondu présent à l'invitation des parents de Clément qui nous recoivent dans leur belle propriété de Cantet.
Quelques lapins nous on permis de faire patienter les chiens jusqu'au 29 où nous sommes invité par l'ACCA de Samazan.
Le territoire est magnifique et la superficie nous laisse présager une belle chasse.
Après quelques renseignement des riverains, nous commençons notre quête dans des patures où un lièvre "gros comme un chien" a été vu quelques jours plus tôt.
Nous commençons à quêter, quelques bouts de voies sont empaumés par Damson, Prospect Vanity et Bluebottle, nous présageant la présence d'un lièvre aux alentours.
Malheureusement, ces "débuts de voies" ne donnant rien , nous élargissons notre quête, bien aidé par deux jeunes chasseurs habitués du territoire.
Après quelques 2h de quête, nous commençons à nous poser quelques questions lorsqu'un des chasseurs à tir nous propose d'attaquer dans ses vergers où il a connaissance très souvent de deux lièvres.
Ni une ni deux nous nous rendons sur place, et c'est en sortant la meute du camion que nous avons pu apprécier la connaissance de son territoire de notre ami chasseur à tir.
Les beagles ont à peine fait 20 mètres qu'un bon capucin se livre et part tambour battant en direction des vergers.
La meute reprend très bien et file bien ameutée. Elle traverse les vergers, traverse un premier bois en sautant une rivière, rentte dans une friche à toute allure.
Augustin est aux chiens et rappel à l'ordre Peewit qui surhallait sur une autoroute que n'avions pas vu si proche.
Malgré cela, la meute charge et notre lièvre est sans doute sortit de son train.
L'animal est vu sauté une départementale avec les chiens aux fesses, le Maître d'équipage arrive alors à rejoindre la meute en coupant à travers plaine, et voit l'animal faire un retour. Il marque de la chasse.
Nul besoin de sonner une vue, la meute bien appliquée arrive à grand train, les vieilles chiennes sont remises à la voie et reprennent de plus belle.
Notre capucin est vu sauter la dépertementale cette fois ci dans l'autre sens, il semble retourner à son enceinte d'attaque.
Sûremment stressé par les voiture, le lièvre a perdu tous sentiments mettant la meute en défaur au milieu d'habitation en construction.
Naples s'égaye et fait quelques bêtises mettant les beagles en difficulté.
Les arrières sont fait, et c'est en faisant les grands avant que la voie est retrouvée.
Les beagles reprennent bien mais notre animal de chasse a prit de l'avance et commence à ruser.
Il commence à faire le bord d'un étang et de faire des retours dans un bois où de nombreux chevreuils semblent avoir éluent domicil.
Les vieilles chiennes rentrent au bois en chassant, mais Peewit, Dancer et Nimble surhallent en partant aussitôt sur 2 chevreuils.
Les fautifs sont arrêtés "adimirablement rapidement" par notre président qui n'a jamais de mémoire courru aussi vite derrière les chiens... bien encouragé par sa tendre maman et bien aidé par son cousin...
Nous perdons une bonne demi heure et les 22/23 degrés ambiants ne nous aident guère.
Nous fermons le bois, faisons nos retours, et commençons à fouler le bois lorsque Naples semble avoir une voie, suivie de près par Dilemma.
Nous n'avons pas le temps d'appuyer qu'un lièvre se défile des pieds de notre piqueux...
Nous n'avons pas vraiment eu le temps de le juger.
Nous laissons faire les chiens et la chasse retourne à son enceinte d'attaque aussi vite qu'elle en est partie.
Cependant ... une fois n'est pas coutume notre chère Peewit a rencontré 2 beaux chevreuils qu'elle entends bien chasser à pleine balle.
Les beagles sont donc arrêtés et nous en profitons pour questionner les riverains qui ont pu juger notre animal.
Est ce lièvre de change ?
Les avis étant pour moitié partagés, et l'heure commençant à avancé nous prenons la décision d'arrêter d'autant plus que nous chassons demain.
Les boutons les plus courageux et les plus acharnés (ceux qui courents) (Rodolphe tu es excusé...) ont répondu présent à l'invitation des parents de Clément qui nous recoivent dans leur belle propriété de Cantet.
Quelques lapins nous on permis de faire patienter les chiens jusqu'au 29 où nous sommes invité par l'ACCA de Samazan.
Le territoire est magnifique et la superficie nous laisse présager une belle chasse.
Après quelques renseignement des riverains, nous commençons notre quête dans des patures où un lièvre "gros comme un chien" a été vu quelques jours plus tôt.
Nous commençons à quêter, quelques bouts de voies sont empaumés par Damson, Prospect Vanity et Bluebottle, nous présageant la présence d'un lièvre aux alentours.
Malheureusement, ces "débuts de voies" ne donnant rien , nous élargissons notre quête, bien aidé par deux jeunes chasseurs habitués du territoire.
Après quelques 2h de quête, nous commençons à nous poser quelques questions lorsqu'un des chasseurs à tir nous propose d'attaquer dans ses vergers où il a connaissance très souvent de deux lièvres.
Ni une ni deux nous nous rendons sur place, et c'est en sortant la meute du camion que nous avons pu apprécier la connaissance de son territoire de notre ami chasseur à tir.
Les beagles ont à peine fait 20 mètres qu'un bon capucin se livre et part tambour battant en direction des vergers.
La meute reprend très bien et file bien ameutée. Elle traverse les vergers, traverse un premier bois en sautant une rivière, rentte dans une friche à toute allure.
Augustin est aux chiens et rappel à l'ordre Peewit qui surhallait sur une autoroute que n'avions pas vu si proche.
Malgré cela, la meute charge et notre lièvre est sans doute sortit de son train.
L'animal est vu sauté une départementale avec les chiens aux fesses, le Maître d'équipage arrive alors à rejoindre la meute en coupant à travers plaine, et voit l'animal faire un retour. Il marque de la chasse.
Nul besoin de sonner une vue, la meute bien appliquée arrive à grand train, les vieilles chiennes sont remises à la voie et reprennent de plus belle.
Notre capucin est vu sauter la dépertementale cette fois ci dans l'autre sens, il semble retourner à son enceinte d'attaque.
Sûremment stressé par les voiture, le lièvre a perdu tous sentiments mettant la meute en défaur au milieu d'habitation en construction.
Naples s'égaye et fait quelques bêtises mettant les beagles en difficulté.
Les arrières sont fait, et c'est en faisant les grands avant que la voie est retrouvée.
Les beagles reprennent bien mais notre animal de chasse a prit de l'avance et commence à ruser.
Il commence à faire le bord d'un étang et de faire des retours dans un bois où de nombreux chevreuils semblent avoir éluent domicil.
Les vieilles chiennes rentrent au bois en chassant, mais Peewit, Dancer et Nimble surhallent en partant aussitôt sur 2 chevreuils.
Les fautifs sont arrêtés "adimirablement rapidement" par notre président qui n'a jamais de mémoire courru aussi vite derrière les chiens... bien encouragé par sa tendre maman et bien aidé par son cousin...
Nous perdons une bonne demi heure et les 22/23 degrés ambiants ne nous aident guère.
Nous fermons le bois, faisons nos retours, et commençons à fouler le bois lorsque Naples semble avoir une voie, suivie de près par Dilemma.
Nous n'avons pas le temps d'appuyer qu'un lièvre se défile des pieds de notre piqueux...
Nous n'avons pas vraiment eu le temps de le juger.
Nous laissons faire les chiens et la chasse retourne à son enceinte d'attaque aussi vite qu'elle en est partie.
Cependant ... une fois n'est pas coutume notre chère Peewit a rencontré 2 beaux chevreuils qu'elle entends bien chasser à pleine balle.
Les beagles sont donc arrêtés et nous en profitons pour questionner les riverains qui ont pu juger notre animal.
Est ce lièvre de change ?
Les avis étant pour moitié partagés, et l'heure commençant à avancé nous prenons la décision d'arrêter d'autant plus que nous chassons demain.
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