dimanche 14 février 2010

Photos à ajouter dans la semaine.

Chasse du 14 février.

Nous chassons pour la seconde fois de l'année sur le superbe territoire de la famille Chabot-Tramecourt à lignereuil.
Nous avons eu de la neige, la première fois, il en sera de même pour la seconde.

Après avoir eu quelques soucis pour attaquer avec des chevreuils, nous attaquons un troisième lièvre en plaine qui entame une première grande boucle. Les chiens chassent lentement mais ils sont admirablement bien appuyé par Benoît et Clément.
Clément ensuite seul aux chiens, relance deux fois notre animal en plaine, bien aidé par les vues de Marie Charlotte et Anne Cha qui veillent au bon déroulement de la chasse en voiture.
L'animal arrive tout de même à reprendre quelques minutes d'avance en prenant les labours où la voie est inexistante.
La meute est alors reprise par le Maître d'équipage qui voit le lièvre de chasse rentrer dans sa parcelle d'attaque. Propos confirmé par Edwige et Gonzague de G qui font les grands devants.

Malheureusement, alors que les chiens en grande difficulté dans les labours, sont tirés à la voie, un lièvre tout frais bondi devant leur nez.
Quelques minutes précieuses seront perdues pour les récupérer.

Nous tentons ensuite de remettre les chiens dans le droit, mais ils chasseront très mollement sur 2kms. Le maître d'équipage, et Gonzague de G seuls aux chiens à cet instant n'ont malheureusement pas entendu les vues d' Aurélie, Edwige, Renaud, Anne Cha et Marie Charlotte qui ont vu notre animal accusant de la chasse se défilant un petit kilomètre devant les beagles.

Retraite manquée.

Superbe et excellent pique nique offert à Lignereuil par Monsieur, Madame, et Renaud de Chabot-Tramecourt.


Chasse du 7 février

Nous sommes en déplacement ce WE.
Après avoir dormi la veille à Chouzy sur Cisse, où nous sommes toujours très bien reçu dans la maison de veneurs de Madame Leriche, nous partons ce dimanche chasser en Berry à côté de Bourges.
La Famille Jacquelot nous reçois très agréablement sur son territoire de Villaine.

19 chiens par terre.

Nous attaquons en plaine, assez rapidement sur un bouquin annoncé par Antoine, faisant les grands devants ... devant les chiens.
Les beagles reprennent bizarrement très mollement et n'en refont presque pas jusqu'à ce que quelques "cabochards" partent sur un chevreuil. Ils sont immédiatement arrêtés, et la chasse reprend son cours.

Après quelques minutes à fouler les lieux du défaut, un lièvre se défile des anciens vergers. Est ce le même ? nous ne le saurons jamais. Les beagles reprennent cette fois très bien, et la chasse part bon train.
Le capucin fait une grande boucle en plaine, ou les coureurs peuvent ici développer toutes leurs capacités à l'endurance. L'animal revient aux vergers où il se fait battre quelques minutes passant sur les pieds du Maître d'équipage et d'Antoine. Les Beagles sont appliqués, et malgré quelque bout de voie surallé par Dancer, Nickelby et Farthing redressent.

Bouquin, doublant ses voies arrive tout de même à mettre la meute en défaut, mais l'excellent Naples redresse en relançant seul  son animal. La meute rallie et sa charge fort. Les jeunes chiens reprennent la tête et bousculent vraiment leur animal qui est forcé de prendre un parti.

Il fait une seconde boucle en plaine pour revenir au village de St Denis où il longera la rivière. Un lièvre de change jailli, mettant dans le doute Anne cha et Alec posté plus loin. Nous laissons faire et l'animal passe devant Benoît, Gonzague de G, le Maître d'équipage et Antoine qui décide alors seul d'appuyer les chiens.

La meute chasse bien mais plus lentement pour tomber en défaut le long des rives de l'Auron. Antoine les reprend, travail son défaut et relance notre animal qui est bien malmené et semble avoir de la chasse. Les jeunes chiens dont Dikkenek qui semble se déclarer aujourd'hui imposent une cadence mémorable.
L'animal fait tête vers un bosquet d'où il n'est pas vue ressortir par Benoît, Jean Eudes et le Maître d'équipage, restés tous trois en retrait.
Les beagles tombent une nouvelle fois en défaut, rapidement relevé par Antoine qui arrive à rester aux chiens malgré les labours.
Dikkenek et Dancer prenne cette fois quelques longueurs d'avance sur la meute lors de ce relancé à vue magnifique, mais notre animal à une heure de chasse très rapide dans les pattes, il décide de sauter à la rivière, mais les beagles ne l'entendent pas ainsi.
Ils porteront bas leur animal en bât l'eau après une heure et 5 minutes d'excellente chasse.

Nous tenterons par la suite de chasser un renard, mais que nous perdrons après 45 minutes de chasse et 2 rivières traversés.

Curée à la ferme,
Les Honneurs à Monsieur de Jacquelot.

Félicitations aux beagles, et aux boutons qui ont vraiment tous bien chassé aujourd'hui. 

chasse du 31 Janvier

Nous couplons aujourd'hui, comme la veille, avec l'Equipage des Petits Mâtins.

Il y a bien plus de neige qu'hier, mais aucun réchauffement climatique n'est annoncé pour la journée. Nous sommes assez nombreux pour cette chasse en Forêt Domaniale d'Eu, et nous découplerons 40 chiens 23 RdesM 17 EdPM.

Ce n'est que quelques minutes à peine après le rapport que Mustard rapproche seul une voie de lièvre sous bois. A cet instant précis une vue est sonnée quelques mètres plus loin par Sébastien. Heureusement, les beagles rallient tous à Mustard, et la chasse part très vite. L'animal fait tête vers les sapinières de Saint Martin, fait une grande boucle sous bois où il est sonné plusieurs fois par les veneurs bien placés.
L'animal fait les bordures de plaine, et débuche sous la pression de la meute qui n'a jamais plus d'une minute de retard sur son animal de chasse.

L'animal prend la plaine de Réalcamp, alors qu'une tête se forme. Laurent est seul aux chiens, et arrive à tenir la cadence. L'animal revient en forêt où la queue de la meute le prend à vue, fait quelques mètres en forêt et met la meute en défaut.

Nous attendons la tête de la meute, désormais en queue, et travaillons le défaut. L'animal est tapé entre Emeric et Gonzague V. Les beagles travaillent bien, mettent quelques coups de crocs à leur lièvre qui se fait lapiner dans les ronces, mais l'animal  a encore des ressources et débuche une nouvelle fois.

Cette fois la cadence accélère, mais le rythme imposé par la meute est impossible à suivre. Même Laurent et Emeric, nos meilleurs coureurs sont largués.

Nous retrouverons la meute 7 kms plus loin en débuché en ligne droite, aux portes du village de Foucarmont.
Papa en camionnette est le seul à avoir vu l'animal de chasse, suivi de très près par les chiens de tête, et ce dernier semblait très malmené.

Pour ne par déranger les fermiers des alentours nous rentrons en Forêt.
Nous réattaquerons deux lièvres, mais malheureusement les beagles accusent leur première chasse, et la voie ne s'améliorant pas avec le temps, nous ne reformerons pas de chasse correcte.

Retraite manquée (de peu)
Retour au chenil pour un dîner très sympathique. 

Chasse du 30 janvier.

Chasse du 30 janvier.

Nous sommes invité à Quesnoy sur Airaines, par l’Equipage des Petits Mâtins sur le territoire d’Hugues Lamy, bouton de l’équipage du Val d’Arques.

Le territoire étant complètement clos, nous sortons 30 jeunes chiens majoritairement D et E et 4 vieux chiens pour les créancer. Il n’y a qu’un chevreuil dans le parc.

Après avoir perdu un premier lièvre, qui se sauvera par le portail du château, nous en attaquons un second qui ne prendra aucun parti, mais se fera battre pendant 1 heure sous la ronce, et relancé une dizaine de fois avant d’être porté bas par la meute.

Un dernier lièvre est attaqué, mais il trouvera lui aussi une issue sous une porte.

Retraite prise.

Chasse du 24 janvier.

Chasse du 24 janvier.

Nous sommes reçu aujourd’hui en Seine Maritime, à Héricourt en Caux, par la famille Allier.

23 chiens par terre.

Nous attaquons en quelques secondes un bon bouquin qui perd quelques touffes de poil dans la gueule des chiens. Il entame tout de suite un grande boucle. Les chiens volent sur la voie et ne lui laisse peu d'avance. Il rentre au bois, où la meute sera quelque peu gêné par les chevreuils, mais une bonne vue d’Anne Cha et Guillaume permettra a Benoît et Augustin de remettre les chiens dans le droit.

La meute reprend mais s’est divisée. Le maître d’équipage arrive alors à rallier l’autre partie du paquet et cela repart de plus belle, jusqu’à un défaut. Les jeunes chiens le travaille bien, mais une vue sonnée plus haut nous permettra de les appuyer dans doute.

Les chiens redressent jusqu’à ce qu’un lièvre de change leur jaillisse au nez. A cet instant, une chose improbable se produit, les chiens cassent d’eux même pour reprendre une voie qu’ils remonteront jusqu’à relancé un lièvre qui lui semble avoir de la chasse.

Ils chargent à une cadence d’enfer leur animal, mais nous arrivons sur une route dangereuse, ils la franchiront entre de multiples voitures. Les coureurs sont distancés depuis bien longtemps, et seul Benoît, Gonzague et Edwige, en voiture arrivent à retrouver la meute 7km plus loin. Leur animal hallali courant se réfugie dans le tas de bois d’une propriété privée.

N’ayant pas l’accord du propriétaire pour récupérer notre animal, nous le grâcions.

Retraite de grâce.

Chasse du 17 janvier

Chasse du 17 janvier 

Nous sommes une fois de plus reçu à Champmartin par Camille Maréchal qui nous sauve la vie car la chasse prévue ce dimanche a été annulée.

Le temps est parfait et une dizaine de veneurs ont répondu présents à l’appel.
22 chiens par terre.

Nous attaquons après 25 minutes un bon bouquin se dérobant des pieds de Richard. Les beagles chassent du tonnerre et ne semblent pas perturbés par les 4 fox terriers des chasseurs à tir qui ont ralliés la chasse durant 20 minutes.

L’animal se fait battre sous bois avant de prendre un grand parti et de faire une boucle en plaine. La meute est appliquée, bien appuyé par Jean Eudes, Emeric et Augustin qui sont aux culs des chiens.

L’animal a déjà 40 minutes de chasse alors qu’il est relancé à vue par les jeunes chiens, toujours emmené par Dancer, qui impose une cadence d’enfer.

Malheureusement, un labour profite à notre animal, qui reprendra de l’avance. Les chiens sont repris par Emeric et Jean Eudes, qui travaillant leur défaut, sont aidé par une vue de Fred et Camille. Le bouquin revient à son attaque mais un défaut majeur survient.

Après avoir fait nos avants, et de nombreux retours, quelques bouts de voies sont retrouvés par les vieilles chiennes qui nous emmènent dans un gros roncier. Ce n’est qu’après une bonne heure que l’animal de chasse est aperçu par Emeric, se faisant lapiner dans ses pieds.

Le rouquin est relancé et fait une boucle en plaine où quatre lièvres de change surgissent. Heureusement Clément et Alec, admirablement bien placé arrivent à remettre les chiens dans le droit.

L’animal accuse de la chasse, et malgré ses 3 minutes d’avance il est vu par les boutons se taper dans un roncier, où il sera porté bas par la meute après 2h30 de chasse dont 1h de défaut.

La persévérance a payé, bravo aux boutons.
Les honneurs au président des chasseurs à tir de Champmartin.