lundi 8 décembre 2008

23 Novembre 2008

Chasse de Saint Hubert du 23 novembre 2008.

42 chiens par terre.

Après avoir été chaleureusement accueilli dans la belle maison de veneur de la grand mère d’Alec Lorphelin ; Nous irons à la messe de Saint Hubert, de l’équipage des Futaies Normande pour ensuite suivre leur laissé courre.

Les veneurs de lièvre ne sont résolument pas fait pour le laissé courre du chevreuil car tout le monde semble s’embêter à cette chasse.

Nous dinnerons à l’auberge du château de Montpoupon pour dormir une courte nuit à Choizy sur Cisse.

Nous sommes accueilli une nouvelle fois à Champmartin par Camille et le président de la chasse.

Nous couplons une nouvelle fois avec l’équipage des Petits Mâtins.

Après le rapport nous commençons par fouler le bas du bois de la ferme de Champmartin où la meute attaque tout de suite un sanglier blessé.

Nous arrêtons donc rapidement grâce à la réactivité de Laurent, Benoît et Emeric.

Nous filons ensuite vers la parcelle sale de Douglas et séparons les deux meutes pour fouler plus rapidement.

Après quelques instants, quelques chiens de Pierre se récrient, mais Pierre m’annonce au loin que rien n’est sûr.

Pourtant Clément après avoir pris soin de très bien placé les boutons et invités des équipages nous sonnent une vue d’un bon lièvre se dérobant devant la meute des Mondrots.

Nous retenons la meute Boulette Clément, Benoît et moi afin de marier les deux meutes dès l’attaque.

Prospect nous passe dans le dos et commence à se récrier immédiatement rejoins par les deux meutes quelques mètres plus loin.

S’en suit (comme d’habitude) une attaque fulgurante, où les deux meutes chassent dans un mouchoir de poche. Le lièvre passe derrière la maison de Champmartin et file vers l‘étang pour comme à la dernière chasse, faire un virage a 45 degrés et sauter la route cette fois ci derrière le deuxième étang.

Notre lièvre de chasse visiblement collé de près et sorti de son train décide de partir tout droit dans la plaine d’Allogny.

Notre bouquin est parti tout droit reprenant de l’avance sur la meute qui pourtant ne semble pas gêné par le mauvais temps et surtout une pluie fine lavant la voie.

Après six kilomètres de course effrênée seul Laurent et Emeric ont réussi a rester aux chiens.

Malheureusement notre lièvre rentre dans un territoire où trois autres lièvres ont élu domicile.

S’en suis deux changes où les chiens sont difficilement arrêtés.

Malgré cela Olivier et moi voyons notre lièvre de chasse revenir a Champmartin, plutot très marqué par sa chasse.

Malheureusement il nous faudra 45 minutes pour rameuter, il ne sert donc à rien de remettre les chiens à la voie sous cette pluie incessante.

Les deux équipages décident donc de ré attaquer dans les bois de Champmartin.

Sur un bon conseil du président, nous décidons de fouler aux alentours de l’étang du bois.

En quelques minutes un lièvre se défile devant les deux meutes immédiatement mises à la voie sans agitations.

S’en suit une superbe attaque, et pourtant, notre animal file directement chez le voisin taper dans une compagnie de 20 sangliers qui traverse la départementale devant Alain.

Nous décidons pour finir et de rameuter, les deux meutes étant bien fatiguées par leur première chasse.

Nous en déduirons une chasse moins amusante et moins technique que la dernière.

Une chasse difficile suivre, qui nous a bien montré que le beagle anglais…. avait de l’allure !!!

Après un court pique nique nous rentrons en Normandie.

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